Aider ses Scrum Masters à mieux accompagner leur équipe avec TeamMood.

Aider les Scrum Masters à manager leur équipe

En tant que responsable d’une équipe de Scrum Masters, comment savoir s’ils font du bon travail ? Jean-Baptiste fait appel à TeamMood pour mesurer quotidiennement le bonheur au travail. Et chaque Scrum Master reçoit une synthèse des résultats de son équipe toutes les semaines.

Pour Jean-Baptiste, la clé de TeamMood tient dans l’utilisation des résultats. “Je ne regarde pas juste la note des équipes, mais surtout la capacité d’un Scrum Master à réagir et à animer l’équipe en cas de problème.”

Certains Scrum Masters incluent même l’humeur du jour de leur équipe sur leur tableau de bord affiché sur écran dans les bureaux, afin de réagir dynamiquement aux changements d’humeur.

Défendre les intérêts des équipes

Selon Jean-Baptiste, TeamMood permet d’obtenir une vision objective et quantifiée du niveau de satisfaction (ou d’insatisfaction des équipes). Peu de temps après le début de l’utilisation de TeamMood, l’équipe du site a décidé de mettre fin aux prestations d’un food truck qui venait tous les midis à l’heure du déjeuner.

Si la réaction a été immédiate et partagée par l’ensemble du site (“Touche pas à mon food truck”), les résultats de TeamMood ont servi d’argumentaire objectif pour négocier avec l’équipe managériale du site et revenir sur la décision prise.

Ainsi, Jean-Baptiste met régulièrement à profit les commentaires partagés dans TeamMood (problèmes de courants d’air, isolation etc.) pour améliorer les conditions de travail de ses équipes.

Diffuser l’information et animer les équipes

“Nous avons fixé une règle : si jamais quelque chose ne va pas, nous demandons à la personne de mettre un commentaire pour en connaître la cause. Ce n’est pas la même chose si une mauvaise note est due au mauvais temps ou pour un problème de travail.”

TeamMood sert de lieu d’échange et de diffusion de l’information – et participe également à la bonne ambiance de l’équipe. Ainsi, “après un tournoi sportif interne, les collaborateurs se charrient entre eux dans les commentaires.”